Je m'attarde - Mot-clé - 1980s le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearPolaroïd/Roman/Photo, de Ruth (1985)urn:md5:d275fdedfea95250f64948c3d5fad5592024-02-11T16:07:00+01:002024-02-11T16:10:46+01:00RenaudMusique1980sColdwavePost-PunkSynthpop <a href="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/2024/ruth/polaroid_roman_photo.jpg" title="polaroid_roman_photo.jpg, janv. 2024"><img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/2024/ruth/.polaroid_roman_photo_m.jpg" alt="polaroid_roman_photo.jpg, janv. 2024" class="media-center" /></a>
<p>Un album de Coldwave et Synthpop vraiment très étonnant, qui part régulièrement dans des délires à base de cuivres injectés dans une base Post-Punk. Ambiance 80s garantie avec des grosses notes de synthé disséminées un peu partout, que ce soit dans le morceau instrumental Thriller basant tout sur l'ambiance un peu chtarbée ou dans le morceau éponyme suivant, Polaroïd/Roman/Photo, dont le côté suranné est amplifié par les dictions et les timbres des deux voix. De la Synthpop qui s'essaie à quelques tentatives un peu expérimentales, avec seulement quelques échecs (2-3 titres inécoutables pour moi), et en prime une reprise de She Brings The Rain de <strong>Can</strong>, le seul morceau à peu près normal sur l'album <ins>Soundtracks</ins> transformé ici en quelque chose de brumeux et hypnotisant à la limite du dissonant. Les albums suivants de <strong>Thierry Müller </strong>seront tout autant originaux et protéiformes, mais n'auront pas le même charme.</p>
<p>Extrait de l'album : Thriller.</p>
<div id="centrage">.<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/yvxyf8YjSZs" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>.</div>
<p>À écouter également : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=Jhiw6JKQc70">Polaroïd/Roman/Photo</a>, <a href="https://www.youtube.com/watch?v=jcT4Y3BtqSs">She Brings The Rain</a>, <a href="https://www.youtube.com/watch?v=kVmbS1b5pvQ">Mots</a>.</p>
<a href="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/2024/ruth/ruth.jpg" title="ruth.jpg, janv. 2024"><img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/2024/ruth/.ruth_m.jpg" alt="ruth.jpg, janv. 2024" class="media-center" /></a>https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Polaroid/Roman/Photo-de-Ruth-1985#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/1354From Her to Eternity, de Nick Cave & the Bad Seeds (1984)urn:md5:92f1883dcdde84b84876a5defb51c7322023-09-10T20:09:00+02:002023-09-10T19:13:09+02:00RenaudMusique1980sGothic RockNick CavePunk <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/nick_cave/.from_her_to_eternity_m.jpg" alt="from_her_to_eternity.jpg, août 2023" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<p>Premier contact avec <strong>Nick Cave</strong> (et oui, et oui...), dans sa formation avec les "Bad Seeds" qui fait suite à <ins>The Birthday Party</ins> quelques années auparavant. Dans la structure de l'album en version la plus récente, je trouve très étrange l'insertion des deux morceaux In The Ghetto et The Moon Is In The Gutter entre les anciennes faces A et B : ils appartiennent comme à un autre univers, rien à voir avec l'ambiance lugubre et inquiétante des 6 autres pistes. J'ai beaucoup aimé le rythme lent, tranquille, qui distille une angoisse diffuse avec son piano sobre, ses bruits périphériques et ses percussions claires. Il y a une agressivité latente qui va très bien avec le côté gothique et punk, et qui confère à l'album une vraie singularité, à défaut de rendre l'écoute facile. Très joli titre d'album au passage, de here à her.</p>
<p>Suivront d'autres très bons albums où il affirmera un style différent et plus personnel, comme <ins>Tender Prey</ins> et <ins>Let Love In</ins>.</p>
<p>Extrait de l'album : Cabin Fever!.</p>
<div id="centrage"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/GSnoPLboGgk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </div>
<p>À écouter également : <a href="https://youtu.be/A77f5pLnJlc">From Her to Eternity</a> et <a href="https://youtu.be/VI7J34IFLCE">Avalanche</a>.</p>
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/nick_cave/.cave_m.jpg" alt="cave.jpg, août 2023" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<p>Aparté au sujet de <ins>Tender Prey</ins> : C'est sans doute le premier album que j'écoute (je ne connaissais pas bien <strong>Nick Cave</strong> il y a encore 2 mois, on ne peut pas dire que j'ai atteint la maturité à son égard) et qui me plaît autant sur le fond et sur la forme. Pas aussi intéressant dans la déconstruction sonore et dans l'agressivité que <ins>From Her to Eternity</ins> mais avec une symbiose délicieuse entre les différents éléments : le gothique, le Dark Cabaret, les textes de Nick Cave, l'enveloppe Post-Punk que vient complémenter un piano presque dérangeant... Le texte de The Mercy Seat est excellent, le baroque de Up Jumped The Devil est excellent, l'ambiance sur Mercy est hyper prenante. Dommage qu'il y ait parfois des bizarreries qui font sortir de cette atmosphère, comme Deanna à laquelle je n'accroche pas du tout. Mais même les morceaux un peu cabaret que je n'aime pas en temps normal passent étonnamment bien ici — Slowly Goes The Night ou Watching Alice par exemple.</p>
<p>Aparté au sujet de <ins>Let Love In</ins> : Il y a des morceaux qui cassent complètement le rythme entraînant du Post-Punk / Gothic Rock si appréciable... L'enchaînement initial du très beau Do You Love Me? avec la ballade soporifique Nobody's Baby Now en est la plus vive illustration. Il se rattrape quand même sur le reste, mais cette dimension de Dark Cabaret, constitutive du style de <strong>Nick Cave</strong>, me plaît toujours aussi peu. Pour le reste je suis plus client des envolées brutales à la Loverman que des expérimentations baroques bizarres à la Jangling Jack (ce chant...). Il m'aura fallu des dizaines d'écoutes pour parvenir à l'apprécier, ce disque. Première fois que je vois une lointaine parenté avec <strong>Tom Waits</strong>, en termes d'ambiance, de voix, de thèmes, de style.</p>https://www.je-mattarde.com/index.php?post/From-Her-to-Eternity-de-Nick-Cave-the-Bad-Seeds-1984#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/1230Damaged, de Black Flag (1981)urn:md5:a1dcadfa578f3f411bd64841ac3322af2022-12-05T10:14:00+01:002022-12-05T10:23:51+01:00RenaudMusique1980sHardcore PunkPunkPunk Rock <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/black_flag/.damaged_m.jpg" alt="damaged.jpg, déc. 2022" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<p>Aussi débile dans les textes qu'énervé dans le ton, du Punk Hardcore par excellence qui délivre sa rage sans fioriture. Énergie brute à une époque où le Punk était déjà un peu sur le déclin (le Punk Rock en tous cas), zéro compromission qui reprend la simplicité brute des Ramones dans une recette plus brutal et enragé. C'est vraiment du bourrinage du début à la fin, et ce pour parler de vraiment n'importe quoi, d'un pack de bière ou d'une soirée télé. <strong>Henry Rollins </strong>et son chant de fou furieux est bien marrant (le gars est un jour monté sur scène pour chanter avec le groupe, au tout début de sa formation, et il a depuis été adopté comme chanteur, à 18 ans...), il produit un mélange hystérique de rage et de comédie qui remplit totalement sa mission.</p>
<p>Extrait de l'album : Rise Above.</p>
<div id="centrage"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/wDUYCyajDcs" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </div>
<p>À écouter également : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=hcGtNqId7eo">Six pack</a>.</p>
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/black_flag/.black_flag_m.jpg" alt="black_flag.jpg, déc. 2022" style="margin: 0 auto; display: block;" />https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Damaged-de-Black-Flag-1981#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/1104Liquid Sky, de Slava Tsukerman (1982)urn:md5:c3c108461ab9e69f9a9fce573ac62c322021-09-08T11:26:00+02:002021-09-08T11:26:00+02:00RenaudCinéma1980sBizarreDrogueNew WaveNew YorkPunkScience-fictionSexeStop-motion <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.liquid_sky_m.jpg" alt="liquid_sky.jpg, sept. 2021" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<div id="centrage"><span style="font-size: 18pt;"><ins><strong>Trip graphique sous acide<br /></strong></ins></span>
</div>
<p><ins>Liquid Sky</ins> (du nom donné à l'héroïne) : un gros OFNI sur un tout petit OVNI. Il serait vraiment très tentant d'essayer de résumer l'intrigue de ce film réalisé aux États-Unis par le Russe <strong>Slava Tsukerman</strong>, mais l'idée même de se lancer dans une synthèse de cette bizarrerie extrême donne le vertige et est en soi particulièrement intimidante. Comment dire... Le cadre est celui des années 80 à New York, et l'introduction met en scène une soucoupe volante miniature de toute beauté se posant sur un gratte-ciel de Manhattan, face à l'Empire State Building. Mais pas n'importe quel OVNI, un à l'intérieur duquel se trouve un (ou plusieurs, on ne saura jamais) extra-terrestre drogué (potentiellement à l'héroïne, mais le spectre à l'air plus large) qui va trouver un substitut à ses substances de prédilection dans la molécule (on peut supposer de ocytocine ou endorphine) générée dans le cerveau des humains lorsque l'acte sexuel aboutit sur un orgasme. Ils va donc squatter au-dessus de chez Margaret, une mannequin à la vie sexuelle assez mouvementée (de manière consentie ou non d'ailleurs, il faut s'accrocher pour se farcir plusieurs séquences à ce sujet) qui elle, visiblement; ne jouit jamais. Lorsque ses partenaires atteignent le climax orgasmique, des effets visuels dignes d'une vision à la Prédator sous acides illustrent l'absorption de cette substance par le drogué du dessus — c'est du moins ce qu'on peut supposer tant ces images tendent vers l'abstraction.</p>
<p>Pour raconter cette histoire complètement cinglée et loufoque, le réalisateur et son chef opérateur ont mis les bouchées doubles en matière de graphismes sidérants et d'atmosphère insensée, et <ins>Liquid Sky</ins> peut clairement valoir le détour sur cette unique base. Ambiance Punk / New Wave follement 80s, scènes de danse frontalement datées, costumes extraordinaires à foison, maquillages impressionnants (on se souviendra longtemps du visage de l'actrice principale lors de cette scène où sa figure se dessine dans le noir à mesure qu'elle se la peint à l'aide de couleurs fluorescentes)... c'est l'explosion de motifs et de couleurs dans toutes les directions, et c'est vraiment scotchant. Mais en regard de ça, il faut tout de même le préciser car cela peut s'apparenter à une épreuve, on a droit à une direction d'acteur assez catastrophique — même si cela peut ajouter un certain charme en matière d'étrangeté — et à un montage totalement chaotique, avec des séquences alternées sans queue ni tête qui ne semblent être là que pour accentuer la dimension épileptique et perchée de la narration. Il faut s'accrocher avec vigueur pour suivre.</p>
<p>Soit donc cet extra-terrestre posé sur le toit qu'on ne verra jamais mais qui se gave de drogues sécrétées par le cerveau humain, entraînant à l'occasion la mort du sujet (une sublimation en quelque sorte, au terme de séquences en stop-motion faisant intervenir du papier aluminium, je n'en dirai pas plus). Beaucoup d'orgasmes et donc beaucoup de morts dans l'appartement de la protagoniste interprétée par l'hypnotisante <strong>Anne Carlisle</strong> (qui tient le double rôle de Margaret et Jimmy) qui finira par se faire un gros shoot d'héroïne pour attirer l'attention de l'alien et se faire embarquer on ne sait où. Un incroyable défilé vestimentaire et musical, très expérimental, représentatif de ce qui se faisait dans les années 1980, sur fond de compositions particulièrement dissonantes et de pseudo-explications scientifiques délivrées par un astrophysicien allemand qui ne cèdera pas aux avances de la voisine d'en face.</p>
<p>Cheap et kitsch, de la drogue et du sexe, des visuels phénoménaux, du glauque aussi, mais surtout beaucoup, vraiment beaucoup de LSD.</p>
<div id="centrage">
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.double_m.jpg" alt="double.jpg, sept. 2021" />
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.habit_m.jpg" alt="habit.jpg, sept. 2021" />
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.peur_m.jpg" alt="peur.jpg, sept. 2021" />
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.predator_m.jpg" alt="predator.jpg, sept. 2021" />
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/CINEMA/liquid_sky/.visage_m.jpg" alt="visage.jpg, sept. 2021" />
</div>https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Liquid-Sky-de-Slava-Tsukerman-1982#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/1005That Total Age, de Nitzer Ebb (1987)urn:md5:05707c3cd1171f192da9efaa675cd2562021-02-12T11:12:00+01:002021-02-12T11:18:46+01:00RenaudMusique1980sEBMRoyaume-Uni <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/nitzer_ebb/.that_total_age_m.jpg" alt="that_total_age.jpg, fév. 2021" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<p> Après le délire EBM germanophone de <strong>Deutsch Amerikanische Freundschaft</strong>, voici venu le tour des britanniques <strong>Nitzer Ebb</strong>. EBM jusqu'à la moelle, la définition du genre à l'état pur semble-t-il. Tout est dans le rythme basique, monotone et effréné, avec des mélodies typiques de la musique industrielle. Très répétitif, brutal, violent, troublant. Un minimalisme brut, un peu comme du <strong>Depeche Mode </strong>plus violent et un chat plus rugueux. Du son hypnotique, contre toute attente en ce qui me concerne.</p>
<p>Extrait de l'album : Violent Playground.</p>
<div id="centrage"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/FbFLDxe4clo" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </div>
<p>À écouter également : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=cmouRAg1OXA">Murderous</a>, <a href="https://www.youtube.com/watch?v=nb6elpHk9-o">Let Beauty Loose</a>.</p>
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/nitzer_ebb/.nitzer_ebb_m.jpg" alt="nitzer_ebb.jpg, fév. 2021" style="margin: 0 auto; display: block;" />https://www.je-mattarde.com/index.php?post/That-Total-Age-de-Nitzer-Ebb-1987#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/914Alles ist gut, de Deutsch Amerikanische Freundschaft (1981)urn:md5:dc9cee7533b718068a3239d5e50d292f2020-12-13T16:04:00+01:002020-12-13T16:05:34+01:00RenaudMusique1980sAllemagneEBMNeue Deutsche WellePunkSynth Punk <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/deutsch_amerikanische_freundschaft/.Alles Ist Gut_m.jpg" alt="Alles Ist Gut.jpg, déc. 2020" style="margin: 0 auto; display: block;" />
<p> Coup de cœur total et improbable pour un groupe de Neue Deutsche Welle / EBM / Synth Punk à tendance minimaliste et électro. Un album un peu plus conventionnel que les précédents <ins>Die Kleinen und die Bösen</ins> et surtout <ins>Ein Produkt der Deutsch-Amerikanischen Freundschaft</ins>, si on peut dire, dans sa structure du moins. Le chant y est vraiment inquiétant, avec ces petits cris sur "Der Mussolini", et ces synthés à fond les ballons les trois quarts du temps... Comme une version beaucoup plus Punk et agressive de <strong>Kraftwerk</strong>. <ins>Alles ist gut</ins> est à mas yeux le résultat d'une combinaison de tous les bons ingrédients déjà entendus dans les albums précédents mais qui n'y étaient pas assemblés de manière constructive. L'énergie de celui-là est phénoménale. Et on est dans un registre qui est tout sauf facile en ce qui me concerne.</p>
<p>Extrait de l'album : Der Mussolini.</p>
<div id="centrage"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/fzjXyJlBzuM" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </div>
<p>Autres titres : <a href="https://youtu.be/g6QwYblefcw">Ich Und Die Wirklichkeit</a>, <a href="https://youtu.be/z2X9wBPyLcs">Sato-Sato</a>.</p>
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/deutsch_amerikanische_freundschaft/.daf_m.jpg" alt="daf.jpg, déc. 2020" style="margin: 0 auto; display: block;" />https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Alles-ist-gut-de-Deutsch-Amerikanische-Freundschaft-1981#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/883Yasimika, de Djeli Moussa Diawara (1983)urn:md5:7d3a264a2d9f3e1624dc894fd808c2512018-11-07T11:34:00+01:002018-11-07T12:10:51+01:00RenaudMusique1980sAfriqueMusique mandingue <img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/djeli_moussa_diawara/.yasimika_m.jpg" alt="yasimika.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" title="yasimika.jpg, nov. 2018" />
<p><strong>Djeli Moussa Diawara</strong> est le demi-frère de <strong>Mory Kanté</strong>, et si ce dernier est largement plus célèbre et réputé à l'échelle internationale, cet album qui porte son nom (parfois intitulé <ins>Yasimika</ins>) m'a procuré un plaisir jamais atteint dans la discographie de <strong>Kanté</strong>. À ranger aux côtés de <strong>Toumani Diabaté</strong>, <strong>Ballaké Sissoko</strong>, <strong>Rokia Traoré </strong>et <strong>Ali Farka Touré </strong>(<a href="https://www.je-mattarde.com/index.php?post/In-The-Heart-Of-The-Moon-d-Ali-Farka-Toure-Toumani-Diabate-2005">lire le billet</a>).</p>
<p>Les sons du balafon et de la kora (les équivalents africains du xylophone et de la harpe) sont tout simplement magnifiques, et même si on ne comprend pas le contenu des histoires ("djeli" signifie "griot", un poète et musicien ambulant, dépositaire de la tradition orale), l'atmosphère musicale typiquement mandingue, avec ses cœurs féminins, porte un vent de fraîcheur vivifiant en direction de l'Afrique de l'Ouest.</p>
<p>Extrait de l'album : <em>Haidara</em>.</p><div id="centrage"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/n9TcqhwIPB8" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </div>
<img src="https://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/MUSIQUE/djeli_moussa_diawara/.djeli_moussa_diawara_m.jpg" alt="djeli_moussa_diawara.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" title="djeli_moussa_diawara.jpg, nov. 2018" />https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Yasimika-de-Djeli-Moussa-Diawara-1983#comment-formhttps://www.je-mattarde.com/index.php?feed/atom/comments/570