Je m'attarde - Mot-clé - Adolescence - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearUn temps pour vivre, un temps pour mourir (童年往事, Tóng nián wǎng shì), de Hou Hsiao-Hsien (1985) - Gillesurn:md5:85f6fa631e5ad7f6f680becb642806f62024-02-20T12:50:47+01:002024-02-20T12:50:47+01:00Gilles<p>Cela donne très envie comme tu en parles. Les titres de cette trilogie ne manquent pas de charme</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Renaudurn:md5:c5424b805b2aea9f851578b10954eb472023-11-17T13:36:33+01:002023-11-17T13:36:33+01:00Renaud<p>Pour le coup, entièrement d'accord sur le "fade malgré son sujet" en ce qui concerne <ins>Ce plaisir qu'on dit charnel</ins>... Le film de <strong>Nichols</strong> que j'aime le moins pour l'instant.<br />
<ins>Le Lauréat</ins>, je l'avais vu une première fois en étant mollement convaincu, et c'est une conf de <strong>Jean-Baptiste Thoret</strong> (avec son enthousiasme communicatif, même si tout ne fait pas sens parmi la profusion d'infos qu'il avance) qui m'avait donné envie d'y retourner, il y a quelques années, et j'avais davantage accroché, le recours ponctuel à divers symbolismes, une once d'humour pour retranscrire l'asphyxie sociale de <strong>Dustin Hoffman</strong> (je ne suis pas fan en général, mais je l'ai trouvé assez incroyable il y a quelques jours dans <ins>Lenny</ins>). En tous cas, les premiers remous du Nouvel Hollywood, c'est passionnant.</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Nicolasurn:md5:1864b030c5f7997ba62be4ec469d8c1f2023-11-17T11:52:07+01:002023-11-17T11:52:07+01:00Nicolas<blockquote><p>est-ce que ça veut dire que tu n'aimes pas son The Graduate ?</p></blockquote>
<p>On peut dire ça. Je l'ai vu il y a bien longtemps et il m'avait déçu. Je l'avais trouvé agréable à l'œil, et à l'oreille, mais assez inconséquent dans son récit.</p>
<p>J'en attendais peut-être trop ; il signait, avec le <ins>Bonnie & Clyde</ins> d'<strong>Arthur Penn</strong> (que je trouvai autrement plus fort), l'arrivée du Nouvel Hollywood sur la grand scène des Oscars...</p>
<p>De <strong>Mike Nichols</strong>, j'ai vu récemment <ins>Ce plaisir qu'on dit charnel</ins> et il m'a semblé bien fade, malgré son sujet (et les efforts louables d'<strong>Ann-Margret</strong> pour faire monter la température).</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Renaudurn:md5:1ffd888409846bd343fb00f516ed95352023-11-16T17:19:17+01:002023-11-16T17:19:17+01:00Renaud<p>J'aime beaucoup la citation de <strong>Harrison</strong> haha, merci. Concernant <strong>Mike Nichols</strong>, on avait discuté récemment au sujet de <ins>Catch-22</ins>, pour lequel j'ai de l'affection au-delà de ses défauts et de son côté bordélique, mais est-ce que ça veut dire que tu n'aimes pas son <ins>The Graduate</ins> ? Ou alors c'est l'exception ? :D</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Nicolasurn:md5:32fde066c365332ed68ee1adebc2f35b2023-11-16T17:07:27+01:002023-11-16T17:09:35+01:00Nicolas<blockquote><p>Sinon pour continuer le défrichage, on m'avait souvent vanté les mérites de Dog Soldiers mais je n'avais pas beaucoup accroché à l'époque (vu il y a assez longtemps).</p>
</blockquote>
<p>Vu une première il y a longtemps, il m'avait paru sympathique. Revu plus récemment, j'ai déchanté...<br />
C'est très brouillon, à mon sens, dans l'écriture comme dans la mise en scène.</p>
<blockquote><p>En revanche, je n'ai toujours pas vu la contribution de Mike Nichols au genre... Un jour !</p>
</blockquote>
<p>Malgré son casting de haut vol, c'est largement dispensable.</p>
<p>Dommage que <strong>Francis Ford Coppola</strong> n'est pas réalisé le film, comme ce fut un temps envisagé.<br />
<strong>Mike Nichols</strong> est un réalisateur souvent trop sage à mon goût<br />
(et à celui du romancier <strong>Jim Harrison</strong> qui démissionna de son poste de scénariste : "Je voulais du dyonisiaque, il voulait de l'appolonien !")</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Renaudurn:md5:648414f2a759ab9a7eee1addb99f2fb52023-11-16T15:23:28+01:002023-11-16T15:24:10+01:00Renaud<p>Et bien sûr, la fin d'une de mes phrases manquait.. Je voulais dire : "traité comme un élément perturbateur"... d'un récit d'apprentissage. En l'occurrence, deux personnages féminins, l'adolescence, le rejet des autres, la puberté, la sexualité... Mais on se comprend en effet. Ce n'est pas un <ins>Underworld</ins> oui, pour prendre une autre référence premier degré (que j'imagine être mieux que <ins>Twilight</ins>, mais n'ayant moi non plus jamais osé poser mes yeux dessus, on restera dans la spéculation).<br />
Sinon pour continuer le défrichage, on m'avait souvent vanté les mérites de <ins>Dog Soldiers</ins> mais je n'avais pas beaucoup accroché à l'époque (vu il y a assez longtemps).<br />
Et oui, <ins>Teddy</ins> ! Un film insolite. J'ai moyennement aimé, mais je respecte beaucoup ce genre d'expérimentation.</p>
<p>En revanche, je n'ai toujours pas vu la contribution de <strong>Mike Nichols</strong> au genre... Un jour !</p>Ginger Snaps, de John Fawcett (2000) - Nicolasurn:md5:0fa8a2ac2ea20d91a072b3d656bf1b152023-11-16T15:00:21+01:002023-11-16T15:00:21+01:00Nicolas<blockquote><p>Ginger Snaps pourrait presque ne pas être classé dans la catégorie de films de loups-garous, tant c'est plus traité comme un élément perturbateur.</p></blockquote>
<p>Dans un cadre réaliste, et non de fantasy, la lycanthropie est toujours un élément perturbateur, non ? (à part peut-être dans Twilight, mais je ne suis jamais risqué à cette saga... <sup></sup>)</p>
<p>Blague à part, je pense que je comprends ce que tu veux dire.</p>
<p>Un film comme Teddy des frères Boukherma pourrait alors se rapprocher de cette approche.<br />
Il ne démarre pas dans du mauvais genre, type horreur ou polar, mais par une chronique adolescente et sociale, avant que l'élément fantastique ne vienne détraquer encore plus l'ensemble.</p>
<blockquote><p>J'apprécie pas mal Joe Dante donc son Hurlements est bien passé, et en matière de bizarreries je recommanderais presque Wolfen, très particulier mais je trouve qui vaut le détour.</p></blockquote>
<p>J'apprécie modérément Joe Dante mais certains passages de son Hurlements m'ont bien plu (le début et la fin, essentiellement).</p>
<p>Wolfen vaut le détour, oui. J'aurais aimé l'aimer plus...</p>
<p>PS : en y repensant, dans les films avec loups-garous que j'ai pu voir, je ne me souviens pas vraiment d'images de transformation de personnages féminins...<br />
Dans Hurlements, il me semble que c'est escamoté.<br />
Comme si c'était la Belle ou la Bête mais jamais les deux en même temps ?<br />
Dans Wolf de Mike Nichols, je ne me souviens pas d'un poil supplémentaire sur le beau visage de Michelle Pfeiffer, après morsure... (elle a de toute façon les traits plus félins que lupins ; Tim Burton ne s'y est pas trompé. <sup></sup>)</p>
<p>Raison de plus pour jeter un œil à ce Ginger Snaps.</p>