Je m'attarde - Mot-clé - Italie - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearCatch 22, de Mike Nichols (1970) - Renaudurn:md5:abc387cfb5d4e314f0282d95cc1038d82023-07-07T12:35:30+02:002023-07-07T11:35:30+02:00Renaud<blockquote><p>M.A.S.H., peut-être moins ambitieux mais mieux équilibré</p></blockquote>
<p>C'est très bien résumé, un avis que je partage même s'il faudrait que je le revoie, je suis à peu près sûr que je ne l'apprécierais plus autant aujourd'hui.</p>
<p>Et un film d'acteurs oui, Welles imposant comme d'habitude. Le visionnage du film et la publication de ce billet sont complètement décorrélés de la mort récente de Alan Arkin, mais la coïncidence est bien là...</p>Catch 22, de Mike Nichols (1970) - Jimurn:md5:68050f2f15104e954e6abb7fe231fd8d2023-07-07T10:56:24+02:002023-07-07T09:56:24+02:00Jim<blockquote><p>Mais quel bordel !</p></blockquote>
<p>En effet ! <sup></sup></p>
<p>Si la folie du récit, son aspect débridé, convient a priori à ce jeu de massacre, l'ensemble finit par pâtir de son manque de tenue, qui fait que cette adaptation d'un classique de la littérature moderne américaine peine à s'inscrire dans la mémoire : on en parle rarement... (au contraire de M.A.S.H., peut-être moins ambitieux mais mieux équilibré)</p>
<p>Reste de beaux numéros d'acteurs, du regretté Alan Arkin au monstre sacré Orson Welles.</p>Les Rendez-vous du diable, de Haroun Tazieff (1959) - Renaudurn:md5:6f2a3bd7ee46eeb3112c23ebf4c78d4b2023-06-02T15:42:01+02:002023-06-02T14:43:25+02:00Renaud<p><blockquote>Le grain de ces images nous renvoie, en esprit, dans le passé, de façon plus convaincante que si l'on avait pris une machine à remonter le temps pour re-filmer le tout avec une caméra numérique 8K ! ;-)</blockquote>
Hahahaha tout à fait accord et joliment dit.</p>
<p>Je ne sais pas si tu as eu l'occasion de voir ou revoir dernièrement le film de <strong>Cousteau </strong>qui a remporté la palme d'or en 1956. C'est intéressant d'un point de vue historique, mais alors sinon c'est vraiment un carnage, j'avais été partagé entre rires et honte.</p>Les Rendez-vous du diable, de Haroun Tazieff (1959) - Jimurn:md5:d198a39eedadd4559e6abb04dac9e02c2023-06-02T14:24:45+02:002023-06-02T13:24:45+02:00Jim<p>Belle trouvaille.<br />
Merci pour cette chronique.</p>
<blockquote><p>"(...) spectacle visuel d'autant plus fascinant qu'on a l'impression d'accéder à des images un peu magiques, de par leur rareté (que ce soit le contenu du documentaire ou la pellicule physique elle-même)."</p></blockquote>
<p>Le grain de ces images nous renvoie, en esprit, dans le passé, de façon plus convaincante que si l'on avait pris une machine à remonter le temps pour re-filmer le tout avec une caméra numérique 8K ! ;-)</p>
<blockquote><p>"(...) Desproges (...) se moquait gentiment du volcanologue et le comparait au Cousteau du dramatique Monde du silence — ce dernier, sorti en 1956, aurait d'ailleurs inspiré Tazieff pour son film."</p></blockquote>
<p>Ah, Haroun Tazieff... Je me souviens avoir maintes fois feuilleté les volumes de "25 ans sur les volcans du globe" qu'avait achetés ma mère.<br />
J'étais trop jeune pour juger du comportement et du traitement médiatique du bonhomme ; j'étais seulement émerveillé par les images et témoignages.<br />
(Idem pour Cousteau et ses bouquins sur les requins)</p>Le Métier des armes, de Ermanno Olmi (2001) - Renaudurn:md5:1889f2745cdbda47e9d35df787f00d212023-05-02T09:21:12+02:002023-05-02T08:21:12+02:00Renaud<p>Salut Nicolas, et merci à toi pour ce retour !<br />
Si un jour tu te découvres une passion pour les films qui se déroulent au Moyen Âge, on pourra éventuellement en discuter, j'ai une petite liste à ce sujet et si tu as des conseils je serai preneur. :) En tous cas celui-là est un peu particulier, je pense que les partis pris esthétiques et narratifs sont à double tranchant : personnellement j'ai adoré mais je conçois qu'on puisse trouver ça rebutant.</p>
<p>(Ta remarque au sujet de mon stakhanovisme de la bafouille m'a fait marrer. :D Je garde 80% de mes notules pour la postérité, il faut que je pense à les imprimer sur parchemin et les placer dans un vieux coffre pour retomber dessus quand ma mémoire me fera défaut — enfin, plus qu'aujourd'hui disons haha !)</p>Le Métier des armes, de Ermanno Olmi (2001) - NICOLAS ROSSIurn:md5:ae64c4577854875c188547735f4281c22023-04-29T12:50:46+02:002023-04-29T11:50:46+02:00NICOLAS ROSSI<p>Merci pour cette chronique, Renaud !</p>
<p>Je pense rarement à regarder des films sur l'époque médiévale et celui-ci me fait bien envie, tant pour sa dimension historique qu'esthétique. J'en prends bonne note.</p>
<p>PS : tes chroniques s'enchaînent plus vite que des tirs de boulets de fauconneau...<br />
(Tu en as trouvé une malle pleine dans un vieux grenier ; je ne vois pas d'autre explication ! ;-)</p>Les Adolescentes, de Alberto Lattuada (1960) - Renaud M.urn:md5:bc9daa090e60911868e4d12308435c262021-02-18T11:34:10+01:002021-02-18T11:34:10+01:00Renaud M.<p>Non, je n'en ai jamais entendu parler ! Je prends ça comme une recommandation, merci beaucoup.</p>