Vous revêtez Meurtres à Willow Pond d’une couverture jaune et noire dans un format de poche tel que faisait la mythique maison d’édition du Masque et vous obtenez une imitation d’un roman d’Agatha Christie dans toute sa majesté. Sauf que le coupable de cette histoire s’appelle Ned Crabb à qui on doit un autre roman noir traduit en France qui est complètement barge : La bouffe est chouette à Fatchakulla.