"À ton âge, la seule femme dont tu as besoin, c'est ta mère." Premier film que l'on peut considérer "normal" que je vois chez Pasolini, faisant suite à 4 tentatives sur une quinzaine d'années marquées par des tonalités hautement subversives, expérimentales, excessives, […]
Mot-clé - Jeunesse
lundi 16 mars 2020
Trois dans un sous-sol, de Abram Room (1927)
lundi 16 mars 2020. Cinéma
Avant-garde de l'émancipation Derrière ce titre mi-suggestif mi-glauque se cache un film soviétique d'une étonnante liberté de ton. On est dans les années 20 et Abram Room aborde de manière parfaitement explicite une série de thèmes d'une modernité incroyable : dans cet appartement moscovite (aux […]
lundi 09 septembre 2019
La Ballade du soldat, de Grigori Tchoukhraï (1959)
lundi 09 septembre 2019. Cinéma
Propagande(s) Il faudra bien un jour qu'on m'explique pour quelles raisons le drame sied aussi bien à certains cinémas, à certaines nationalités, époques ou cultures, et pas à d'autres. Comment il épouse parfaitement certains codes, dans certains registres, alors qu'il devient insipide, larmoyant […]
mardi 26 février 2019
Elle n'a dansé qu'un seul été, de Arne Mattsson (1951)
mardi 26 février 2019. Cinéma
Jeux d'été Impossible (ou du moins très difficile) de ne pas considérer Elle n'a dansé qu'un seul été, du réalisateur suédois Arne Mattsson, à l'aune de deux particularités. La première, c'est la scène où les deux jeunes amoureux se retrouvent dénudés au cours d'une baignade qui fut à l'époque […]
samedi 25 février 2017
Je ne regrette rien de ma jeunesse, de Akira Kurosawa (1946)
samedi 25 février 2017. Cinéma
Le goût du passé Kurosawa s'aventurant (rétrospectivement, vu d'aujourd'hui) sur les terres habituellement balisées par Ozu, avec quelques brefs détours du côté de Shindō (toujours aussi anti-chronologiquement), c'est quelque chose de particulièrement surprenant pour quelqu'un comme moi qui ne […]
samedi 28 février 2015
Monika, de Ingmar Bergman (1953)
samedi 28 février 2015. Cinéma
L'art du regard Monika (aussi appelé Un été avec Monika ou encore Monika et le désir) est un de ces films qui valent le détour au moins pour une de leurs scènes. Le regard mélancolique de Harriet Andersson, qui brûle rétine et pellicule aux deux tiers du film, est quelque chose qu'on n'oublie pas. […]
Dernières interactions
Quelle influence je fais dans la course aux Césars ! ahah En SF, je…
26/02/2024, 00:32
la critique du film était finalement plus le prétexte de cette petite recherche…
25/02/2024, 09:45
Un billet très à propos en regard des prix que le film a obtenus hier soir aux…
24/02/2024, 17:47
J’ai une petite inclination pour la SF car les hommes-animaux ne surgissent pas…
21/02/2024, 23:20
Merci Renaud ! Et oui, la critique du film était finalement plus le prétexte de…
21/02/2024, 20:40
Très beau papier, merci Gilles pour toutes ces passerelles entre des mondes…
21/02/2024, 14:25